HISTOIRE
Le site de Gurat est plutôt pittoresque où les maisons se serrent, perchées sur une falaise calcaire surpomplant la vallée de la Nizonne. Le nom 'GURAT' viendrait de la présence d'une villa gallo-romaine du nom d'Auguracum ou de villa Auguri (le domaine d'Augur) sur la route de Périgueux à Saintes. Au XIII° siècle, on mentionne le nom Gurat sous la dénomination 'Auguracâ', puis en 1380 'Exguratâ' ; en 1430, on trouve 'Auguraco', puis enfin 'Guraco' au XVI° siècle. En effet, en occitan, Gurat se dit 'Gurac'.
En 1692, on compte 170 feux sur la paroisse de Gurat, puis 150 en 1789. En 1856, la commune compte 650 habitants, ce qui correspond au nombre maximal de la population guratoise. Jusqu'à la première guerre mondiale, la commune arrive à garder un peu plus de 500 habitants. Dès les années 30, puis surtout après la seconde guerre mondiale, à un moment où l'exode rural s'accentue considérablement, le nombre d'habitants diminue considérablement. En 1946, on compte presque 345 habitants, contre 261 vingt plus tard, puis jusqu'à atteindre son plus bas niveau en 1999 avec 184 habitants. Cependant, on constate une amélioration depuis le début des années 2000...
En 1856, le cimetière est transféré hors du bourg et est bénit par Monseigneur Cousseau. En 2012, le bas-bourg a connu une rénovation complète de ses rues et de sa place du champ de foire, qui pour l'occasion a été réamménagé avec une piste cyclable.
Au début du 20 ème siècle, la fée électricité fit son apparition dans la commune.
Voici, relatée par monsieur Maurice Bourrut-Lacouture, son arrivée :